Pages

Subscribe:

vendredi 27 juillet 2012

Miss Mymoo Plays "The Walking Dead" #2

La suite des aventures de ce cher Lee, héros bien malgré lui d'une aventure inédite inspirée de la série tv "The Walking Dead". Ce dernier évolue difficilement dans univers post-apocalyptique, coursé par des zombis et tente de rester en vie...


Abonnez-vous à ma chaîne Youtube pour me soutenir dans cette nouvelle aventure et ne plus manquer aucun épisode à venir ! 

mercredi 25 juillet 2012

Miss Mymoo Plays "The Walking Dead" #1

Le premier épisode de The Walking Dead, le jeu, est en ligne sur Miss Mymoo Plays !


Miss Mymoo Plays aussi !

Dans mon dernier billet, je me remémorais mes vieux souvenirs d'enfance et comment je devins un petite Gameuse, le tout sans délaisser mes passe-temps de jeune fille.

Car oui, mesdemoiselles, messieurs, on peut jouer à des jeux de bourrins et porter des talons hauts. On peut dégommer des zombis et parfaire son maquillage. On peut cambrioler une banque et s'enfuir à bord d'un bolide hors de prix tout en réajustant la pose de son vernis à ongle (enfin presque... question de timing : "laisse-moi une seconde, coco, c'est pas encore tout à fait sec").

Ainsi, je me disais : Plutôt que de jouer dans mon coin, pourquoi ne pas partager l'un de mes passe-temps favoris avec toute une communauté qui n'attend que cela sur la toile !

Et c'est là que ma chaîne YouTube naquit.
Je vous présente donc, avec toute la fierté d'un parent admiratif devant son petit bébé à peine sorti de l'oeuf (...je m'égare) : "Miss Mymoo Plays" !

Et pour inaugurer cette chaîne, quoi de mieux qu'un jeu qui sort des conventionnels Sims ou autres Animal Crossing, Just Dance et autres jeux traditionnellement étiquetés "filles" : place à l'adaptation de la série tv "The Walking Dead" (rien que ça) :


vendredi 20 juillet 2012

Il était une fois : une Gameuse

Alors que je suis en pleine frénésie Skyrim depuis quelques mois... je me repenche sur tous ces jeux qui ont marqué ma petite vie, depuis 26 ans déjà.

Tout commença à l'école primaire. Les années 1990. Notre classe est équipée d'un unique ordinateur PC bien encombrant. Une antiquité comparée aux miniscules petites bêtes qui ponctuent notre quotidien d'aujourd'hui ! C'est dans ce genre de réflexions que j'en arrive à penser : tu as vraiment connu l'âge de pierre, ma fille.
Bref, revenons à nos moutons, ou à notre PC plutôt. Un de nos camarade rapporta un jour le Graâl pour lequel toutes et tous nous battrions les jours suivants : Baldur's Gate ! Le légendaire, le mythique, celui qui inspira tant d'autres MMORPG (jeux de rôles massivement multi-joueurs) par la suite (League of Legends ou encore la série des Diablo, par exemple...).

Baldur's Gate (visuel JeuxVideos.com)

Après quelques apartés passés à découvrir les premiers jeux disponible la GameBoy d'une amie (la première, l'originale, il me semble), ainsi que les nombreuses parties de Super Mario jouées sur console chez d'autres...Le grand tournant s'amorça lorsque je pris la décision (bien influencée par les nombreuses heures à voir jouer les grands frères de mes copines à des jeux plus évolués) de demander ma première "vraie" console : la Playstation de Sony. Oui oui, celle-là aussi, l'originale, la petite grise avec le clapet circulaire et les cartes mémoires que l'on achetait séparément et où l'on stockait les données se sauvegarde de nos parties dans les "blocs" disponibles. Aussi vieux que les disquettes ça aussi (J'ai peur qu'une partie de ceux qui liront ces lignes ne se disent : "Mais de quoi nous parle-t-elle ?").


Et là ce fut l'explosion. Que du bonheur. Je ne citerais ici que ceux qui ont vraiment marqué mon enfance de façon indélébile, à tel point que je me revois encore y jouer, dans quel contexte et/ou avec qui : 

  • Tomb Raider (I, II et III) que j'avais également débuté sur PC... ah qu'il est loin ce temps où Lara Croft évoluait au sein d'un univers ultra pixelisé ressemblant fortement aux gros cubes de Minecraft aujourd'hui. Vous ne me croyez pas ?
  • Crash Bandicoot (toute la série, un tel succès qu'il fut également repris sur PS2)
  • Rayman (bien avant qu'il ne tombe en désuétude, et que l'on fasse appel au génie des développeurs français pour lancer les Lapins Crétins, dont l'unique but de départ était de relancer le bon vieux héro à la houppette blonde, mais qui l'éclipsèrent très rapidement !)
  • Final Fantasy VII dont la musique résonne encore dans nos têtes (jeu que j'ai même récemment repris avec Tomb Raider, si si, les vieux classiques sont indémodables !)

Sans compter le nombre de jeux échangés avec les amis, qui étaient également un pur bonheur mais auxquels je n'ai certainement pas joué suffisamment longtemps pour qu'ils me marquent à ce point (sinon, j'en aurais moi-même fait l'acquisition !)

Je n'abandonnais pas mon PC (acquis en classe de cinquième) pour autant. Les années collège et lycée avançant, c'est à des jeux de stratégie/gestion que je m'attelais à présent :
  • Caesar III
  • Pharaon et son extension La Reine du Nil : Cléopâtre

  • Les Maîtres de l'Olympe (même lignée que les précédents)

  • Les Sims !!!! Je suis une fan inconditionnelle de ce jeu depuis le tout premier CD, n'ayant manqué aucune extension. Je les ai cajolé, bichonnés, nourris, et vu grandir, ces petits, jusqu'au jour d'aujourd'hui, quel changement !
Capture d'écran "Les Sims 1" : pixelisé à l'extrême,
intéressant de voir l'évolution des graphismes

Capture d'écran "Les Sims 2"
Capture d'écran "Les Sims 3"

Plus récemment, et toujours sur PC, je m'essayais un de nouveaux jeux plus matures :


  • World Of Warcraft (on comprend le lien direct avec Baldur's Gate)
  • GTA IV

  • Skyrim (ma dernière addiction en date....!) où l'on voit également le lien avec Baldur's Gate et World of Warcraft (le jeu multijoueurs en réseau en moins, mais personnellement, je préfère) :



Je m'arrêterais là sur ce sujet pour aujourd'hui... A très bientôt pour mes autres addictions de gameuse en herbe, sur console cette fois !

mercredi 4 juillet 2012

Série TV : ne manquez pas la première de SMASH

On ne va pas se le cacher, pour une fois qu'une série TV américaine arrive sur nos chaînes françaises (non-cryptées, je précise) : cela constitue déjà en soi un évènement de taille !
C'est le cas de SMASH, la nouvelle série/comédie musicale à la sauce Glee, dont le premier épisode fut diffusé aux U.S.A le 6 février, et en France ce soir, 4 juillet 2012 sur TF1, et en prime-time, s'il vous plaît...

L'histoire ? Une équipe de Brodway désire monter une comédie musicale retraçant la carrière de Marilyn Monroe. Ce sont les donc les péripéties de tout un casting, leur travail acharné et les tensions entraînées par tout ce stress que la série nous propose de découvrir, le tout agrémenté de parenthèses musicales (c'est un peu le thème principal du show).
Faut-il également préciser que SMASH est produit par Steven Speilberg ?


Un Glee plus adulte ? Drôle de coïncidence de timing, SMASH lançant sa première saison au moment où les personnages principaux de Glee obtiennent leurs diplômes et débarquent à New York pour poursuivre leur carrière... je vous le donne dans le mille, à Brodway !


mardi 3 juillet 2012

Flashback : quelle femme seriez-vous si vous aviez vécu dans les années 60 ?

Vous avez certainement lu mon précédent article sur mon addiction sévère à la série Mad Men, récompensée 6 fois aux Emmy Awards.



Je ne sais pas ce qui m'attire dans cette fiction, entre le respect des évènements historiques et l'ancrage de l'histoire dans celle avec un grand H, la fidélité aux moindres détails mais également la question de sujets bien plus sérieux qui marquèrent ces années 60, au delà des simples relations entre les personnages.

Toujours est-il que, si comme moi, vous êtes une "Mad Men addict", j'ai le plaisir de vous informer que le site internet AuFéminin.com vient d'élaborer un dossier complet sur les années 60, et notamment un quizz basé sur la célèbre série tv (cliquez sur la photo qui suit).



Je tiens à vous dire que mon résultat personnel était très probant... je ne sais pas si cela sera valable pour chacune d'entre vous. Alors ne serait-ce que pour passer le temps et s'imaginer dans la peau de l'une des trois principales héroïnes de la série, faites un tour par la page du site et laissez-moi vos résultats en commentaires !

Stop au phénomène Lolita !

[Cet article est la copie de celui que j'ai rédigé sur mon autre blog dédié aux produits cosmétiques. Je le trouvais suffisamment pertinent pour être partagé ici avec vous].

Je n'avais pas prévu de rédiger ce post, mais ce a quoi j'ai assisté ce midi dans un bus parisien m'a profondément remuée. 

Une jeune fille, à qui je donnerais tout juste dix ans, des traits encore bien enfantins et  sans aucun signe apparent d'une puberté déjà bien présente, sort de son petit sac tout l'attirail de la parfaite fashionista. Un "make-up bag" dont je prends l'ampleur de l'importance du contenu, au fur et à mesure que les minutes passent. 
Miroir compact, gloss, mascara noir...
Le gloss seul pourrait passer. De nombreuses grandes enseignes proposent des produits aux couleurs attrayantes et aux parfums acidulés pour les plus jeunes. 
Le mascara ultra-black de maman, par contre, commence déjà à me faire réfléchir...

"Lolita malgré moi", 2005

Je n'ai pas pour habitude de dévisager mes voisins dans les transports en communs, mais en sortant du bus, je me retourne et constate alors l'ampleur des dégâts, si je puis dire...
Un maquillage "full face", du fond de teint au blush rose vif sans oublier le plus voyant de tous ces éléments : un fard à paupières bleu-gris métallique, tranchant avec une peau assez mate.

C'en est trop, mon esprit est traumatisé par tant de ravages faits sur le visage de cette petite fille qui serait sublime au naturel, mais qui prend soudainement des airs de clown, pour ne pas dire vulgaire
Notons que son maquillage tranchait également très fortement avec sa tenue vestimentaire : une petite robe rose, pour une fois, tout à fait adaptée à sa tranche d'âge. Vous comprendrez donc, je l'espère, ma révolte intérieure. Quel gâchis. 

Malheureusement, rien d'étonnant à ce phénomène lorsque de nombreuses marques proposent de plus en plus de produits cosmétiques (sans parler des accessoires vestimentaires) initialement à destination des adultes mais revisités en version "junior"

Magazine "Vogue" France, édition décembre 2010

Et lorsque les grands magazines de mode s'en mêlent et organisent des shooting photos afin d'accréditer cette nouvelle tendance, c'en est trop. Nous avons tous en mémoire les quelques pages de Vogue mettant en scène de très jeunes filles à peine pubères dans des positions lascives, maquillées à outrance et accoutrées de vêtements et accessoires que jamais au grand jamais elles ne devraient pouvoir porter à leur âge, à l'exception d'un court essayage pour faire "comme maman" lorsque celle-ci se prépare, c'est-à-dire sous la surveillance d'un adulte et dans le cadre de la sphère privée
Une réaction des plus hautes sphères politique avait alors déclenché de la part de l'UNESCO la proposition d'une charte visant à protéger l'image des enfants exposées dans divers médias.

Vladimir Nabokov, Lolita

"Lolita", (Stanley Kubrick) 1962
"Lolita", (Adrian Lyne) 1997



















Ne devrait-on pas rappeler qu'à la base, le phénomène "Lolita" tire son nom d'un film (adapté deux fois au cinéma), lui-même inspiré d'un roman érotique (Lolita, de Vladimir Nabokov), mettant en scène une jeune fille surjouant sa sexualité naissante dans le but de s'attirer les faveur d'un homme d'âge mûr. Rien de très moralement correct on en conviendra, et qui ne peut certainement pas nous laisser indifférent lorsque l'on constate que cette mode n'est plus cantonnée au domaine de la fiction, mais déborde bel et bien sur notre réalité à présent. 

Je n'aime pas me présentée en "mère la morale", mais cette situation m'a réellement moralement bouleversée.  J'ai tout simplement trouvé inapproprié qu'une fillette de cet âge soit autorisée à porter autant de maquillage en journée, d'autant plus pour sortir en pleine rue et au contact d'on ne sait quels genres d'individus. Non sans paraître paranoïaque, il faut rester réaliste. Combien d'individus dérangés et pervers seraient prêts à commettre l'irréparable sur de simple jeunes filles. Autant ne pas tenter leurs esprits malades...
Je n'ai que 26 ans et je ne m'estime donc pas si âgée, si "dépassée" par notre époque. Malgré tout, en remontant le long du fil de mes souvenirs, je me rappelle avoir porté un léger baume à lèvres brillant dès la classe de Troisième, gardant mes premiers vrais débuts dans le monde des cosmétiques pour mes années lycée, sans exagérer non plus (je ne dois avoir porté du mascara noir qu'en Terminale, c'est dire ! Je me contentais auparavant d'un mascara transparent, car je craignais que mes cils (naturellement longs et foncés) ne soient trop voyants pour mon âge.


Je serais heureuse de connaître votre avis sur le sujet. Avez-vous déjà été confronté (personnellement ou dans votre entourage) à ce phénomène "Lolita" ? Avez-vous déjà croisé des jeunes filles dont vous pensiez qu'elles s'étaient perdues dans une section du magasin qui ne leur était pas destinée, ou portant un maquillage/une tenue outrancier(ère) ?
  

ShareThis